Pendant pas mal de temps le projet Quaero a fait jaser… Tout d’abord par le montant des subventions accordées. Scandaleusement élevées pour certains, ridicules pour d’autres. Ensuite par les dissensions internes qui en ont résultées et qui ont mené à l’émergence de projets parallèles concurrents et à des problèmes diplomatiques franco-allemands. Mais bon, le débloquage récent des subventions de l’Agence
Le projet Quaero, dont on entendait déjà parler depuis 2005, et qui pour l’instant ressemblait plus à l’Arlésienne ou à la pomme de la discorde vient enfin de trouver son plan de financement, ce dernier ayant été avalisé par la commission européenne. Le financement des 5 premières années d’exercice – ou plutôt de R&D – de ce moteur de recherche
J’ai eu plusieurs fois l’occasion de parler de Quaero et d’Exalead. D’un côté nous avions le projet européen et de l’autre une PME innovante française spécialisée dans l’indexation documentaire et la recherche d’information, mon premier s’appuyant lourdement sur le second. Le projet à la base franco-allemand (cf en bas de page) semble prendre une toute autre tournure puisque les fançais
Alors que la France attend toujours l’accord des autorités bruxelloises pour lancer Quaero, un projet axé sur la recherche multimédia, le Conseil norvégien de la recherche a approuvé le financement du centre Information Access Disruptions (iAd), dédié à la recherche et à l’accès aux informations. Il sera dirigé par l’entreprise norvégienne Fast. Celle-ci a développé un moteur de recherche grand
C’est de plus en plus la question que tout le monde se pose…et d’ailleurs c’est un peu pour cela qu’il était temps que les responsables de ce projet s’expriment un peu pour recadrer les choses. En fait qu’ils se réapproprient un peu « leur » projet et qu’ils nous en donnent une autre vision que celle là. Net Economie était donc présent
A l'occasion d'une table ronde, les représentants de Quaero sont revenus sur le positionnement de ce "programme" qui refuse d'être un simple moteur… Pas de concurrence frontale avec les géants de la recherche sur internet. A l'occasion d'une table ronde organisée par Club Sénat mardi soir à Paris, les représentants de Quaero sont revenus sur le positionnement de ce "programme
Loïc Le Meur liste les 10 raisons qui font que Quaero se plantera et je suis complètement d'accord (ou presque avec lui…) 1- Google c'est dur à épeler…et donc pas simple à écrire. 2 – Le projet est trop centralisé. 3 – Le projet est développé en secret plutôt qu'en beta test. Or aujourd'hui il est essentiel pour ce type
Quaero, le nouveau multimillionaire, travaillera avec la société (toulousaine con!) Synapse. Synapse est une société de 7 personne pour un chiffre d'affaires de 500 K€ en 2005 qui a fourni entre autre des correcteurs d'othographe et de grammaire à destination de Word et de l'Encyclopaedia Universalis. Pour Quaero, Synapse travaillera sur un algorithme permettant de transformer une question en langage
Jacques Chirac a ce matin annoncé les 6 projets officiellement retenus par l’Agence d’Innovation Industrielle. Comme prévu Quaero touche le pactole avec un financement de 250 millions d’euros sur 5 ans dont 90 millions d’aide. Reste à acquérir la participation allemande qui pourrait monter le financement de ce projet à 450 millions d’euros. Pour mémoire, Quaero s’appuiera sur la technologie
Selon les Echos (20 avril 2006), Quaero pourrait rafler le gros lot avec un petit bas de laine de 100 millions d'euros (en tout cas ce sont les bruits qui courent depuis janvier sur le montant) qui lui seraient accordés par l'Agence de l'innovation industrielle. 100 autres millions lui seraient versés par les entreprises parties prenantes du projet. L'AII, dotée